Critique Ciné – Green Lantern, In brightest day, in blackest night… No evil shall escape my sight !
Un homme en costume vert, qui tire sa puissance d’une lanterne… Verte… C’est sûr que vu comme cela, le potentiel casse gueule de cette histoire est plutôt visible. C’est vrai que ce Green Lantern n’est certes pas le héros DC Comics le plus connu chez nous. Mais l’éditeur US n’allait pas non plus laisser entièrement le champ libre à son collègue de chez Marvel, qui avait bétonné son été avec pas moins de trois films… Bref… DC ne pouvait pas se permettre d’attendre la sortie du troisième opus de Batman. Voici le pitch de ce Green Lantern :
C’est Martin Campbell, à qui l’on doit les deux derniers Bond qui s’est collé à la réalisation, si le résultat est moins inspiré, c’est solide, et le film ne souffre pas de temps mort. Dommage par contre que le concept même du héros (construire des objets avec sa seule volonté) soit sous exploitée. La montée en puissance de ce nouveau héros est ponctuée de passage plus ou moins comique, comme par exemple celui qui essaye de désamorcer le côté casse gueule d’un super héros juste caché derrière un loup… Ryan Reynolds est fidèle à lui-même, et est peut-être un peu trop minet pour être crédible tout à fait. Blake Lively est toujours aussi jolie, même si son personnage est quelque peu laissée pour compte, et enfin Mark Strong est juste parfait en Sinestro (Vivement le deux du coup).Mais on rentre malgré tout assez bien dans cette histoire, véritable introduction à un univers bien plus vaste. Mais la suite est déjà programmée… Ce n’est pas réellement une surprise !
Ce que j’ai aimé :
+ Le costume version 2011 (et oui, même le loup !).
+ L’humour et la désinvolture du héros
+ L’acteur choisi pour Sinestro !
Ce que je n’ai pas aimé :
– Le méchant humain un peu limite…