Concours “The Following”
C’est fini ! Merci de votre participation. Le gagnant va recevoir un mail de ma part histoire de récupérer l’adresse postale nécessaire.
C’est fini ! Merci de votre participation. Le gagnant va recevoir un mail de ma part histoire de récupérer l’adresse postale nécessaire.
Il semblerait que la période soit propice à la production de série et de film incitant le spectateur à une réflexion sur notre rapport à la technologie. Un peu comme le dernier film de Spike Jonze, « Her ». Bref, j’ai eu l’occasion de découvrir (et oui, je suis parfois en retard sur la tendance) la série « Black mirror ».
Pour remettre tout cela à sa place, je souligne que cette série est dite « d’anthologie », un peu comme « Au deal du réel », « Twilight Zone », ou bien « Les contes de la crypte ». Il n’y a donc que le thème global de la série comme fil conducteur. Le thème, c’est notre rapport et notre dépendance face à la technologie et aux ordinateurs (sous toute leur forme). Chaque épisode, avec son histoire originale nous place devant une version exacerbée d’un de nos comportements face à la technologie.
En guise d’exemple, parlons du premier épisode de la première saison, « l’hymne national » qui prend comme point de départ l’enlèvement d’une princesse royale. En publiant une vidéo sur Youtube, le ravisseur fait une demande inattendue et humiliante au Premier Ministre britannique s’il veut revoir la victime vivante. Pour le coup, c’est notre fâcheuse habitude de réaction en troupeau qui est ici (entre autre) pointée du doigt.
En 2008, le créateur de « Black Mirror », Charlie Brooker, avait déjà produit la très sulfureuse et non moins « Dead Set », cette fois la en s’attaquant à la télé-réalité.
Je vous conseille donc vivement de regarder cette série anglaise, qui débarque ce soir (en deuxième partie de soirée) sur France 4.
Allons-y !
Le concours est désormais terminé, merci à vous tous de votre participation ! Le/La gagnant(e) recevra un mail dans la semaine…
Good luck !
Dans le cadre du lancement de la première saison de Strike Back en DVD/Bluray, et la diffusion de la seconde saison sur Canal +, j’ai été convié, dans un cadre champêtre à une partie de Paint-ball endiablé. Ce fut un agréable moment, mais bon, le plus important reste la série.
En voici déjà le synopsis : La section 20 du MI-6 déploie ses moyens pour combattre le terrorisme. Les agents de terrain les plus efficaces parcourent le globe pour éradiquer les menaces.
Basé sur les romans de Chris Ryan, la série se concentre massivement sur l’action, malgré tout la réalisation de haute volée et une écriture très réussie permet à cette nouvelle production anglaise de rejoindre ses consœurs Luther, Sherlock etc.
D’un point de vue purement technique la copie numérique (tant audio et vidéo) est très réussie. Par contre, le contenu au niveau bonus est plutôt chiche.
En bref, c’est une bonne série pour les amateurs d’action, pour les autres, il n’y a pas vraiment de raison de s’y arrêter.
Comme beaucoup d’entre vous, j’avoue être assez souvent déçu par les séries française. Souvent l’idée de départ est intéressante, mais la réalisation, le montage et l’écriture nettement moins…
Bon ok, je suis sûrement un peu difficile, m’enfin ! Via le Club 300 Allociné, j’ai été invité il y a peu dans les locaux de France Télévision afin d’y découvrir les deux premiers épisodes d’une nouvelle série, écrite par Virginie Brac (à qui l’on doit notamment la très agréable série Engrenages). Les beaux mecs (c’est le nom de la série) retrace le parcours initiatique d’un couple de gangsters improbable. Le premier, Tony Roucas (le véritable héros de l’histoire), est un gangster à l’ancienne, lâché par ses anciens compagnons, il vient de purger 10 ans de prison. Il est joué par l’excellent Simon Abkarian. Le second est Kenz, une petite frappe de banlieue qui se prend pour un caïd.
Une fois en cavale après une évasion rocambolesque, c’est surtout la vie de Tony Roucas que l’on nous raconte, à travers des flashback, et la formation que ce dernier donne à Kenz au fur et à mesure de leur aventure. Les dialogues ont de belles sonorités “à la Audiard”, on rit souvent, mais les scènes de violences, filmées et gérées de la plus belle des manières par Gilles Bannier sont dures, et réalistes.
Vous plongerez sans vous en rendre compte dans cet univers de tonton flingueur mâtiné de banlieue, et vous n’émergerez que lors de la diffusion du huitième et dernier opus… Je ne vous en dirais pas plus, je ne veux pas vous gâcher la surprise… Mais attendez vous à une grande aventure romanesque, parfois drôle, parfois tragique, comme le sont toutes les belles histoires. Les deux premiers épisodes seront diffusés <b>Mercredi 16 Mars à 20h35</b>
Dans le cadre du Club300 Allociné, je suis convié ce soir à la projection des 4 premiers épisodes (sur 6) d’une série française nommée Signature…
Ce n’est que ma deuxième projection de série pour le Club300 Allociné, mais c’est un série qui m’attire depuis un moment déjà. Vous aurez le droit, dans le WE, à mes impressions sur la première série que j’ai vu, Les Beaux Gosses, dont la diffusion commence la semaine prochaine (le 16 mars à 20h35 sur France 2).
Je vous livre tout de même le synopsis de Signautre, série réalisée par Hervé Hadmar, tournée à La Réunion, avec notamment Sandrine Bonnaire et Sami Bouajila :
A un moment ou à un autre, tous ce existait dans les années 80 fera son come-back… Et même si les CosmoCats n’ont jamais disparu de la sous culture geek (dans laquelle votre serviteur surnage gentiment), ils n’avaient jamais fait réellement leur grand retour…
La Warner annonce aujourd’hui une nouvelle série animée, et qu’elle devrait être diffusée sur Cartoon Network. Elle sera réalisée par les studios d’animation de la Warner en partenariat avec le Studio4°C (Animatrix, Gotham Knights, Halo Legends).
Bon, il faut avouer qu’a l’instar d’autres séries de cette époque, les scénarios, les personnages vont devoir connaître un grand lifting, une grande modernisation.
M’enfin, l’essentiel n’est pas là hein ? Cosmo-Cosmo… Cosmo… CATS !