les restes du monde

Sous l’ombre des pales d’un ventilateur :

R: Tu sais, plus j’avance dans le temps, plus je pense que l’histoire est un éternel recommencement…
T: Ah oui ? Tu as un exemple ?
R: Ben prends par exemple l’état de l’Europe avant la guerre de 40…
T: Oui ?
R: Et bien, cela nous a tout de même mené au bord de l’holocauste nucléaire !
T: Oui… En prenant de gros raccourcis. Mais oui. Et alors ?
R: Ben regarde l’état du monde en ce moment…
T: Oui mais tu verras, ça ne sera pas pareil cette fois…
R: Ah oui…? Tu veux dire quoi ? Que cette fois, on se ratera pas ?
T: …

jamais content

Dans un bureau, tout à côté…

G: Il fait beau aujourd’hui non ?
R: Fait un peu frais quand même…
G: C’est vrai, mais il fait beau quand même, non ?
R: Mouarf, on est pas encore en été malgré tout…
G: Tu es jamais content toi non ?
R: Pourquoi tu dis ça ?
G: Ben je sais pas, il fait beau, et tu rechignes… Qu’est ce que tu diras cet été ?
R: Ben…
G: Ah oui je sais, un truc du genre : “On a connu mieux comme été”…
R: …

Job lag, comme le jet, mais au taf…

Pfiuuu, le dernier post que j’ai fait ici date de début février…

Bon il faut avouer que lorsque l’on a un déménagement sur le dos, ce n’est pas vraiment simple de trouver le temps de poster. Et puis il y a mon petit taf de RP pour Jeuxvideo.org, qui me prend pas mal de temps également… M’enfin bref. I’m back, for good (I hope so…)

A demain pour de nouvelles aventures ! En attendant, petit jeu, à vous de trouver le mot caché :

Epi Et Sols

si ce n’est lui…

Ledru-Rollin a dit:

Il faut bien que je les suive, puisque je suis leur chef.

Ce monsieur est en partie responsable du décret instaurant le suffrage universel en France, je trouve du coup cette citation des plus intéressantes…

Sinon dans les restes du monde un écureuil est sur le point de bouffer une banque qui n’a de populaire que le nom, les israéliens sont dans une tourmente politique à cause, en partie, du résultat de leur gué-guerre, la musique classique n’a plus le vent en poupe alors que la pop anglaise elle, explose les charts…

le bout de la route

Parfois, le long de la grève d’une mer décidément bien trop calme…

P: Mais qu’est-ce que tu veux que je te dise ?
G: Je ne sais pas, quelquechose… Un petit peu d’espoir…
P: C’est trop tard, bien trop tard, même pour l’espoir.
G: Pourtant j’ai fait tout ce que tu m’as demandé !
P: Je sais, et dieu sait que je m’en veux d’avoir pu te demander quoi que ce soit.
G: Alors c’est tout ? C’est comme ça que tout fini ?
P: Pas tout, on est encore debout, cela suffira pour le moment non ?
G: Oui mais nous ?
P: Nous n’existe plus, pense à toi, comme moi je pense à moi.
G: C’est tout ?
P: Parce qu’il t’en faut plus ?
G: …